Si vous voulez être un bon coach allez dans le sens de la simplicité. La première des simplicités est le mental. Faire le ménage dans ses pensées. Revenir à l’instant présent pour calmer ses peurs. La méditation (je pense à Marie-Christine, qui a déjà accompagné plusieurs de mes clients dans la méditation au travail) est évidemment un chemin formidable pour y arriver. J’appelle ceci la pleine conscience.
Ensuite il est important de développer l’amour de soi.
Cesser d’être maltraitant avec soi-même, c’est à dire, être trop exigeant ou perfectionniste, cela simplifie immédiatement la vie.
- Est-il nécessaire de tout maîtriser ?
- Est-il nécessaire d’être toujours parfaitement habillé ?
- Est-il nécessaire de se montrer sans faille ?
Celui qui veut être un bon coach doit allez dans le sens de la simplicité.
Est-ce si dramatique de lâcher un peu sur ces exigences ? Toutes ces exigences qu'un coach s'impose entraînent parfois des tentions dans les équipes au travail.
Par contre il est important de commencer à être à l’écoute des besoins physiques et émotionnels.
Au fait nos besoins essentiels sont en réalité assez simples, mais nous avons tendances à écouter nos besoins au bénéfice de ceux qui nous sont dictés par les autres ou par la société. Pour les entendre il s’agit de faire de la place à l’intelligence de son corps plutôt qu’au mental.
Etre bon coach c’est avoir la sincérité envers soi et envers autrui.
Se voir tel que l’on est, se débarrasser de ce qui ne nous appartient pas, cerner sa part d’ombre pour devenir soi-même… J’essaye d’atteindre cette honnêteté, je m’en approche grâce à mon cheminement personnel.
Etre clair avec moi-même est primordial dans mon travail, car je travail avec l’humain.
Bien me connaître me permet de mieux aller à la rencontre de l’autre, d’accompagner les salariés, les cadres et les dirigeants avec bienveillance, sans être dans le transfert ou la projection. Arlette Janssens.
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