Comment accompagner les dirigeants dans un management durable ? Le monde actuel change si vite et devient si complexe que les dirigeants – même les plus brillants, ne peuvent plus tout maîtriser. L'intellect ne suffit pas. Les dirigeants doivent aussi faire preuve d'intelligence émotionnelle : empathie, écoute, self control, confiance en soi, attention portée aux autres, résistance au stress…
Accompagner les dirigeants dans un management durable
Les grandes entreprises commencent à se rendre compte que le profil psychologique d'un dirigeant est largement aussi déterminant qu’un diplôme ou une expertise.
Accompagner les dirigeants dans l'affirmation de leur leadership me semble incontournable pour la réussite de l’entreprise dans la durée. Le stress peut en effet générer des comportements contre-productifs comme des mouvements d'humeur, de l'autoritarisme, voire des comportements déviants.
Pour éviter d'en arriver là, j’utilise un outil d'analyse « Worldwork » qui explore 22 compétences de base extrait de 884 profils de dirigeants européens.
Cette grille permet de mettre en valeur les comportements qui renforcent la confiance en soi, le contrôle de ses émotions, la considération, l'aptitude à déléguer et à responsabiliser.
Reste à vous convaincre du bienfait de l’outil qui est un assemblage du CULTURAL ORIENTATION FRAME WORK élaboré par Philippe Rosinski et le INTERNATIONAL PROFILER de Worldwork marque déposé pour analyser le profil du dirigeant international.
Les dirigeants font souvent preuve de réticences, se demandant pourquoi on leur propose cet exercice alors qu'ils ont déjà fait leurs preuves.
Un argument devrait facilement les convaincre : j’aime citer le cas d'une grande banque anglaise qui a décortiqué le profil psychologique de ses hauts potentiels.
Résultat :
- Ceux qui font preuve de self control ont 7 fois plus de chances que les autres de réussir dans leur poste de cadre dirigeant.
- Les profils empathiques ont, quant à eux, 3 fois plus de chance que la moyenne d'y parvenir.
- L'esprit d'équipe, la confiance en soi et la motivation donnent entre 2 et 2,5 fois plus de chance de réussite.
- En revanche, les capacités d'analyse et de conceptualisation ne font guère la différence pour devenir un leader…